Avec une lenteur méthodique , ses mains déboutonnent son jeans, le faisant descendre, il lève les pieds pour l'enlever complétement. Son mètre quatre vingt et plus s'étire de toute sa longueur , me permettant de regarder pleinement chaque centimètre carré de muscle saillant et désirable. Mes tétons durcissent . Ma respiration devient erratique. Tout en moi crie le désir.
“Je me dis que je te peindrais bien comme ça. Juste comme tu es. Afin que tu puisses voir ce que je vois quand je te regarde. Sexy.” Il fait un pas vers moi. “Confiante.” Un autre pas. “Belle.”Un pas supplémentaire . “Innocente.” Il est de nouveau entre mes cuisses. Mon visage se tourne vers lui. “Mais je ne suis pas un peintre, Getty.” Il tombe à genou. “Je vais donc devoir te le montrer d'une manière différente.”
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